Arsenal – PSG : un gros pour se lancer en C1

Arsenal reçoit le PSG dans la deuxième journée de la Ligue des champions. Après un nul à Bergame (0-0) et au sortir d’une victoire à domicile contre Leicester, la formation londonienne peut envoyer un message pour s’imposer comme un véritable challenger.

Un match capitale, entre celle du Royaume-Uni et celle de la France. Arsenal, si fort hors de ses bases, reçoit le Paris-Saint-Germain, qui réalise un joli début de saison (7 matches, 6 victoires, 1 nul toutes compétition confondues).

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Les Gunners sortent d’une jolie victoire face à Leicester (4-2), où ils se sont tout de même fait peur, avant de marquer par deux fois dans le temps additionnel (90e+4 et 90e+9). Les hommes de Mikel Arteta seront toujours privés de Martin Odegaard, qui manque dans l’entre-jeu, mais pourront compter sur Leandro Trossard, auteur de 2 buts sur ce début de saison.

Blessé à une épaule depuis son arrivé, l’Espagnol Mikel Merino pourrait être dans le groupe et disputer ses premières minutes avec les Gunners.

Paris, club cher à Arteta

Du côté des Franciliens, Ousmane Dembélé devrait être, selon certains médias français, hors du groupe. Une absence dans un secteur clé où les différents joueurs alignés – Calafiori ou Timber – font forte impression. L’Italien inquiète et aurait ressenti une gêne à un genou après une célébration trop véhémente sur le but de Trossard.

“Nous n’avons pas fait de séance d’entraînement hier (lundi), (Calafiori) était un peu émotif après le match, donc voyons comment il se sent aujourd’hui”, a évalué son entraîneur, lorsqu’il a été interrogé à ce sujet en conférence de presse.

Arteta va lui retrouver un club qu’il a connu en tant que joueur (2001-2002), dont il garde de bons souvenirs. “C’était ma première expérience professionnelle, s’est rappelé l’entraîneur espagnol en conférence de presse. Ce fut une période incroyable que j’ai passée là-bas et j’ai adoré chaque minute. Je serai toujours reconnaissant envers le club et Luis Fernandez, car c’est lui qui a cru en moi quand j’avais 17, 18 ans. C’était une expérience qui restera avec moi pour toujours, avec des coéquipiers qui m’ont aidé et façonné la personne que je voulais devenir en tant que joueur, et qui ont éveillé en moi quelque chose pour devenir entraîneur à l’avenir.”

De bons souvenirs pour l’entraîneur, et d’autres à écrire par ses joueurs dès mardi soir dans un stade qui vibrera, comme la saison dernière, dès les premières notes de l’hymne de la Ligue des champions.

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